|
|
1996 |
: L'UdeM écrase |
|
|
|
|
C’est
la fin des mégots. Comme la plupart des institutions
publiques, l’UdeM devient officiellement un espace
sans fumée. Les agents de sécurité sont
tenus, en vertu de la Loi sur la protection des
non-fumeurs,
de distribuer des constats d’infraction. Les
fautifs doivent payer une amende automatique de 20
$ et les récidivistes impénitents sont
passibles de sanctions qui peuvent monter jusqu’à 200
$. Tolérée pendant quelques années
dans les restaurants et les cafétérias,
la cigarette est aujourd’hui proscrite sur l’ensemble
du campus. Il n’y a que les chambres des résidences
où il est encore permis d’en fumer une. |
|
|
|
1996 |
: Le CHUM, d’hier à demain |
|
|
|
|
Le projet d’un centre hospitalier
relié à l’Université de
Montréal remonte aux années 20. Il faut
attendre 1996 pour qu’un centre universitaire
voué aux soins à la population, à la
recherche et à l’enseignement voie enfin
le jour. Né de la fusion des hôpitaux
Notre-Dame, Saint-Luc et Hôtel-Dieu, le Centre
hospitalier de l’UdeM constitue le plus grand
centre ambulatoire au Canada : un corps de 900 médecins,
300 résidents et 250 externes, 1200 lits, plus
de 700 000 visites en clinique externe par année
et près de 200 000 à l’urgence.
En 2000, Québec annonçait l’implantation
prochaine du CHUM dans un nouvel immeuble situé sur
un site unique.
|
|
|
|
Sources des capsules historiques: Forum,
Division des archives de l’UdeM, L’Université de Montréal.
La quête du savoir de Hélène-Andrée
Bizier (Libre Expression, 1993), Service des archives de l’École
polytechnique, archives de l'Institut Notre-Dame du Bon-Conseil
de Montréal.
|